Bonjour à tous,
Dans ce qui suit, la mécanique quantique n’est absolument pas remise en cause, bien au contraire. Je suis dans la conceptualisation de la théorie des cordes, et d’un subtil jeu de mots, je pense en tenir les bons bouts. Mais j’ai une lacune, je ne suis pas suffisamment matheux pour établir le lien entre les équations de la mécanique quantique et la théorie que j’élabore. Aussi, je recherche activement un ou des scientifique(s) aguerri(s) aux équations pour finaliser cette théorie.
De prime abord, je ne m’intéresse qu’à la primordialité des événements cosmologiques, dans le même état d’esprit qu’Einstein qui considérait qu’à la base tout était d’une simplicité déconcertante.
Mon premier souci dans la considération du big bang a été de me dire qu’un déséquilibre matière-antimatière n’est pas logique. Et là, audacieusement, j’ai considéré que le big bang n’était que le passage d’une étoile par son trou noir en étant totalement désintégrée (c’est-à-dire par désintégration des cordes transcendantales constitutives de la matière) en deux éléments cordaux fondamentaux : 0 et 1. Que de la matière et pas d’antimatière ! Or il se trouve que si 1 est un pur réel, 0 est à la fois réel et imaginaire. De là l’utilisation des complexes et donc de l’intervention de l’imaginaire i. Potentiellement donc, par l’identité d’Euler, on a :
Je pars de ce constat : l’élément dimensionnel de base, dans cet univers, est la sphère. La sphère est ce qui est à la fois le plus simple et le plus complexe (bulle de savon, planètes…). C’est une dimensionnalité d’Espace. Par analogie, une dimensionnalité de Temps est une exponentialité (le développement de populations - par exemple de bactéries - suit une courbe exponentielle). Et j’ai dans l’équation précédente fondamentale le nombre d’Archimède Pi et le nombre de Neper e.
Autre audace personnelle : Pi et e sont appariés et transcendent simultanément donnant naissance aux cordes à l’origine des particules élémentaires, puis des atomes, des entités… Il en résulte que Pi-e est la mémoire transcendantale de l’univers. Pi et e ne sont pas aléatoirement construits. En fait, l’univers et par extension, tout univers (vous comprendrez par la suite), est en recherche de sa finitude, et ici il s’agit de clore transcendentalement la sphère. Pi et e transcendent simultanément en suivant une logique automorphique, ce qui donne aux dimensions un caractère intrinsèque à la matière.
Par la précédente formule, dimensionnellement analysée, il en résulte que l’Espace est une sphère en 3D entourée du Temps en une auréole en 2D, et pour éviter l’effondrement dimensionnel, 2i s’organise en une croix radiante au centre de la sphère. 1 est donc une sphère d’Espace en 3D et 0 une auréole de Temps en 2D. Au big bang résultant de la désintégration cordale d’une étoile dans son trou noir, est généré un flux d’auréoles de Temps 0 et de sphères d’Espace 1 créant une poche dimensionnelle dans laquelle les éléments 0 et 1 vont transcender suivant la logique automorphique du nouvel univers.
A ce stade, le flux est vraisemblablement à la température de Planck (toutes les forces sont unifiées).
Transcendances originelles de Pi-e :
• Première transcendance :
Une sphère d’Espace 1 dans l’auréole de temps 0 : c’est le photon. La première force qui apparaît est la force électromagnétique. La lumière résulte de la friction entre l’auréole 0 et la sphère 1.
• Deuxième transcendance :
Une sphère d’Espace 1 circule dans l’auréole de Temps 0 : c’est le graviton. La deuxième force qui apparaît est la force gravitationnelle. Une dépression dimensionnelle est générée au centre de l’auréole par la rotation de la sphère dans l’auréole.
• Troisième transcendance :
Deux auréoles de Temps 0 sont accolées, l’une de sens horaire, l’autre de sens antihoraire : c’est le boson de Higgs. La troisième force à apparaître est la force d’interaction faible.
• Quatrième transcendance :
Deux sphères d’Espace 1 sont accolées : c’est le gluon. Et la quatrième force est la force d’interaction forte.
La transcendance de Pi-e suit donc une logique automorphique.
Pour ne pas être dans l’erreur, je m’en arrête ici pour le décryptage de Pi-e, d’autant qu’étant plus doué dans la conceptualisation que dans les équations quantiques, je passe le relais aux mécaniciens de la physique quantique. Il va de soi que les transcendances suivantes vont correspondre aux autres particules élémentaires.
L’analyse des cordes Pi-e impacte directement la vision cosmologique.
Voici un schéma pour vous montrer l’imbrication dimensionnelle des univers (multivers). En réalité, elle ne se fait pas car il n’y a pas chevauchement dimensionnel (les dimensionnalités sont discrètes).
Notre univers est issu d’une étoile qui s’est effondrée dans son trou noir et dont les éléments (atomes) ont été cordalement désintégrés, c’est-à-dire que les cordes T1-T2 constitutives des particules élémentaires ont été réduites en éléments fondamentaux 0 et 1.
Pi-e transcendent simultanément jusqu’à donner "aujourd’hui" ans notre poche universelle tout un univers de galaxies. Mais notre univers est né dans un univers lui-même qui a résulté soit de l’effondrement d’une étoile dans son trou noir stellaire (univers bidimensionnel / plus probable), soit de l’effondrement de plusieurs étoiles dans le trou noir central galactique (univers multidimensionnel / moins probable).
Et dans notre univers, toutes les étoiles qui s’effondrent dans leur trou noir génèrent des univers qui deviendront "aussi grands" que le nôtre mais non perceptibles car dimensionnellement différents (en quelque sorte des univers parallèles).
Pour un univers issu d’un trou noir stellaire, on a deux transcendants T1 et T2 couplés qui transcendent simultanément, et pour un univers issu d’un trou noir galactique, on a plusieurs transcendants T1, T2, T3, T4, T5, T6, T7, T8, etc (du Calabi-Yau en plus complexe et "aussi grand" que notre univers).
Pour nous, dans notre univers, il est donc possible de décrypter les transcendants Pi et e puisqu’ils suivent une logique automorphique initiée par le photon en sphère auréolaire, système microcosmique que l’on retrouve au niveau macrocosmique : les planètes aux orbites circulaires autour des étoiles.
Nous pouvons donc décrypter Pi et e mais il nous est impossible de décrypter les transcendants T1 et T2 d’un autre univers au simple fait que s’applique le principe d’incertitude d’Heisenberg puisque nous ne pouvons comprendre que l’automorphisme dont nous sommes constitués.
Et au final, il existe plus d’univers "aussi grands" que le nôtre que le nombre d’étoiles de tout notre univers, des milliards de milliards… ce qui donne le vertige ! Et les possibilités transcendantales sont infinies.
L’origine de ce gigantesque multivers n’est pas le big bang de notre univers, mais un tout premier univers réduit à 0 et 1 avec 0 le premier trou noir par lequel est passé 1, et qui s’est ensuivi d’un déclenchement transcendantal infini pour « 1 fini » !Tout univers n’a qu’un seul but : « clore éclore » l’automorphe transcendantal, autrement dit dans notre univers, terminer Pi-e !
NB : "aussi grand" entre guillemets est exact en toute relativité dimensionnelle.
Il y a un défi à relever, et il est de taille. Je vous propose d’emblée de prendre du recul sur le développement de l’univers suivant les cordes Pi-e.
Dans ce développement, l’humain correspond sur cette planète à un stade avancé de la logique automorphique de Pi-e. Très schématiquement, l’humain est par son cerveau une sphère (deux hémisphères) avec un corps radial dont il a libéré le Temps avec ses « deux mains ». Autre exemple d’évolution : l’œil qui est une sphère dans son orbite contenant un cristallin pour la perception photonique.
Mais l’humain a construit à partir de sa logique (« un + un ») un Monde non naturel mais artificiel. Là où les outils mathématiques de l’Homme fonctionnent pour comprendre et construire ce Monde artificiel, ils ne sont pas en totalité applicables pour l’analyse du Monde naturel.
De ce que je pense, pour l’analyse mathématique et le décryptage de Pi-e, il faut redéfinir de nouveaux opérateurs. Notamment, intuitivement, je perçois que la logique automorphique n’a pas privilégié « un + un » mais « un + une » dans l’Evolution des systèmes naturels (pour prendre deux exemples concrets : il faut un individu mâle et un individu femelle pour engendrer un nouvel individu automorphique ; ou encore c’est par l’action du soleil « un » et de la lune « une » que l’automorphe terrestre s’est développé).
Pour les sceptiques qui acceptent mal ma théorie (voire la rejettent), l’univers ne s’est pas construit en termes d’équations mathématiques mais suivant une logique transcendantale !!
C’est la logique transcendantale (précisément la logique automorphique des deux transcendants Pi et e) qui conduit aux équations mathématiques (précisément en premier lieu, celles de la mécanique quantique), et non pas l’inverse !!
D'où vient la Mathématique ? A l'origine, d'avoir compté avec les doigts ! L’univers, lui, à l'origine n’a pas compté avec ses doigts !
Pour développer, cet univers ne s'est pas créé de rien: le big bang n'est que le passage d'une étoile dans son trou noir en se désintégrant totalement en deux éléments primordiaux, des auréoles de temps 0 et des sphères d'espace 1.
Avec les trous noirs, cet univers est une véritable passoire. A chaque étoile qui se désintègre dans un trou noir, il y a formation d'un nouvel univers qui deviendra tout aussi grand que celui-ci. Il n'y a pas de chevauchement des dimensionnalités, c'est pour cette raison que ce sont des "univers parallèles" dont nous n'avons pas conscience de l'existence.
Autrement dit, l'ensemble des univers constitue un multivers. Le nombre d'univers est incommensurable (plusieurs milliards de milliards) et nombreux sont tous aussi grands, si ce n'est beaucoup plus, que celui-ci (notamment les univers qui ont été créés avant le nôtre).
Les lois de cet univers sont compréhensibles par notre esprit car nous sommes partie intégrante de sa transcendance. Par contre, il nous est impossible de connaître les lois des autres univers.
Pour en revenir à l'expansion de cet univers (et c'est valable pour les autres univers / La mécanique cosmologique reste la même, même si les lois sont différentes), elle est assurée par la formation de nouveaux univers en son sein. Autrement dit, à chaque fois qu'une étoile s'effondre dans son trou noir dans cet univers, la conséquence en est une participation à l'expansion de l'univers.
Pour avoir un aperçu sous un autre angle, les galaxies de ce que l’on voit, sont des agglomérats spatio-temporels et de ce que l’on ne voit pas, sont des grappes de plusieurs univers.
Ainsi ma théorie explique tout de l'infiniment petit à l'infiniment grand. L'Espace n'est pas l'absolu d'un référentiel galiléen et le Temps n'est pas ce que l'on croit. A l'origine, au "big bang" qu'il serait plus juste d’appeler "big désintégration", ce n'est que le passage d'une étoile d'un univers-père dans son trou noir et qui s'est désintégrée totalement, cordalement, en éléments primordiaux constitutifs des cordes transcendantale de l'univers (ici les transcendants Pi et e qui sont appariés et qui transcendent simultanément, et qui représentent le "livre mémoire" des transcendances de notre univers et donc des lois physiques).
A l'origine, la désintégration dégage une telle énergie qu'au tout début, l'univers était à la température de Planck. La première circulation au sein des auréoles de Temps 0 était de la durée du temps de Planck, et le diamètre des sphères d'Espace 1 avait la distance de Planck. Le Temps et l'Espace ne sont pas des dimensions isotropiques dans l'univers. Il n'y a de Temps et d'Espace qu'au sein des galaxies. En dehors, ce n'est pas un tramage de Planck (spatio-temporel) mais un "tramage i²" qui est un support dimensionnel et en relation direct avec l'application physique de la formule d'Euler. D'une auréole de Temps 0 à l'origine, on en est arrivé par circulation du temps dans les auréoles en 2D à des auréoles aussi grande que celle autour du soleil, voire plus grande encore avec celle de notre galaxie.
Autant donner un nom à ce support spatio-temporel, le "tramage i²" en l'appelant "substratum cosmologique".
Il n'y a pas de matière noire, ni d'énergie noire. Les fluctuations dans le substratum cosmologique sont dues à la concentration par endroit de grappes de plusieurs univers issus de notre univers.
Merci de m’avoir lu.