A partir de la pression atmosphérique (1 bar) et de la surface de la Terre, je crois qu'il y a moyen d'évaluer au moins grossièrement la masse de l'atmosphère, donc le nombre de moles de ce mélange fait aux quatre cinquièmes d'azote et au cinquième d'oxygène.
Si la masse atmosphérique était plus importante, la pression atmosphérique (qui n'est jamais que le poids de l'air) serait évidemment plus importante. Pour la poussée d'Archimède, par contre, je n'en suis pas certain. Cette poussée est égale au volume d'air déplacé par un objet quelconque, et il faudrait être certain que ce volume contienne davantage de masse que précédemment. Il me semble que ce soit le cas, de toute manière, à tout le moins en surface de la planète.
Une plus grande quantité d'air ne réagirait pas de la même manière aux apports énergétiques solaires, donc le climat fonctionnerait différemment. Il serait moins variable, essentiellement.