Bonjour à tous!
Je me suis penché sur la longueur de Planck et je reviens vers vous.
Il y a, je l'admets, un risque quant à cette proposition puisque je n'ai pas pu tout creuser, la fatigue n'aidant pas.
Elle repose sur trois référentiels, dont un et c'est le premier, me permettant de présenter la façon de penser.
Voici les trois référentiels:
- les échelles de température Celsius et Kelvin. Cela est intéressant car on note comme une translation des valeurs de l'une sur les valeurs de l'autre. Les limites étant soit 0, soit -273,15, la logique de translation s'applique. Notons ce zéro absolu "00".
- la longueur de Planck qui nous permet de nous rapprocher au plus de cet instant 00.
- Les nombres dans leur ensemble réel, noté lR. Nous avons donc les suites connues suivante (pour les entiers) -OO,-n,-(n-1),...,-1,0,1,...,n+1,n,OO
Ce que je veux maintenant c'est faire une transposition entre le principe de translation des échelles de température et des nombres.
Nous aurions donc [-OO,-n,-(n-1),...,-1,] 00,1,...,n+1,n,OO avec le zéro absolu en valeur placée centrale.
Admettons maintenant que nous pouvons remonter à une valeur très proche de ce 00, avec Planck, dénominée x.
Ne peut-on pas dire, grâce à nos sciences, que nous pouvons remonter encore dans le temps jusqu'à notre présent puisque nous savons que -x est l'exact opposé à x?
Et que l'accélération que nous connaissons nous renvoie à une formule connaissant des accélérations exponentielles et des contractions du même type? Ce serait donc comme une courbe sinusoïdale se répétant donc toujours; et l'examen du passé lorsque nous auront vécu tout le cycle nous permettra de savoir pù nous en sommes en permanence dans l'évolution du l'univers?
Je repasserai ce soir sur ce forum,
Merci!
Chouette le Hibou