Obama abandonne le projet d'aller sur la lune

Le programme Constellation, qui devait être celui du « retour sur la Lune » en 2020, est annulé. Barack Obama vient de confirmer officiellement les rumeurs. Trop coûteux et même si neuf milliards de dollars ont déjà été dépensés, le projet lancé par George W. Bush n'ira pas plus loin. La Nasa devra plancher sur des missions habitées vers des satellites de Mars. Quant à l'accès à l'espace après la mise à la retraite des navettes, il sera confié à des entreprises privées.
Confronté à une crise économique et financière sans précédent depuis celle de 1929, les Etats-Unis s'apprêtent à un changement de paradigme dans la façon qu’a l'Amérique d’explorer et d’utiliser l'espace. Depuis que le Comité Augustine a remis son rapport sur le programme Constellation et les plans de la Nasa pour l’exploration, on se doutait que les objectifs spatiaux des Etats-Unis allaient être revisités.
Concrètement, Obama propose d’abandonner dans sa totalité le programme Constellation mis en place en 2004 par George W. Bush qui prévoyait le retour sur la Lune et les premières missions habitées vers Mars. Il préfère donner la priorité à des missions habitées vers des astéroïdes et les lunes de Mars qui pourraient être utilisées pour préparer l’envoi d’un équipage internationale sur la Planète rouge.
Le président américain souhaite également privilégier le développement de nouvelles technologies nécessaires à l'envoi de missions sur Mars et voir émerger des missions robotiques ambitieuses et innovantes qui pourraient préparer les étapes suivantes de l’exploration humaine du Système solaire. Des démonstrateurs de nouvelles technologies, préfigurant certaines fonctionnalités techniques, seraient ainsi développés pour préparer ces étapes futures.

Les partisans des missions habitées vers Mars ont peut-être une carte à jouer maintenant que l’on abandonne l’objectif de retourner sur la Lune. Ils n’ont jamais compris pourquoi il fallait retourner sur la Lune avant d’envisager d’envoyer des hommes sur Mars. Crédit Nasa
La balle est aujourd'hui dans le camp du Sénat
Enfin, l’administration Obama souhaite élargir et intensifier la coopération internationale avec l’Europe et d’autres pays comme le Japon, l’Inde et la Russie sous certaines conditions. On pense évidemment à la mission de retour d’échantillons martiens qui pourrait être réalisée à court terme.
En remplacement des lanceurs et du véhicule spatial Orion du programme Constellation, Obama veut privatiser en très grande partie l'accès à l'espace pour le transport de matériel et celui des hommes. Afin de ne pas trop dépendre des capacités russes pour rejoindre la Station dès que la navette sera retirée du service, le gouvernement va soutenir financièrement et techniquement le développement d'un secteur commercial capable d'assurer le transport orbital de personnes et de fret vers la Station dans le cadre du partenariat public-privé Cots.
Cette décision s’accompagne de l’annonce de la poursuite de l’utilisation de l'ISS au moins jusqu’en 2020 de façon à maintenir un certain leadership dans l'espace et offrir une destination pour les véhicules commerciaux du programme Cots que développent actuellement SpaceX (Falcon 9 / Dragon) et Orbital Sciences avec Thales Alenia Space (Taurus / Cygnus). En effet, la seule raison d'être de ces projets est de ravitailler la Station spatiale, tant il est peu probable que ces industriels arrivent à créer un marché économiquement viable de remplacement de la Station.

En l’état, le budget de la Nasa ne permet pas de développer de nouveaux systèmes et de poursuivre ceux qui existent déjà (à l’image de l’atterrisseur lunaire Altair). Crédit Nasa
Sur la question de la desserte de la Station, il faut savoir que le cas de la navette n’a pas encore été complètement tranché. Il existe une possibilité de prolonger de quelques années son utilisation. Actuellement, les plans de la Nasa prévoient cinq vols en 2010 avant son retrait définitif. Or, Sally Ride, ancienne astronaute américaine et membre du Comité Augustine avait suggéré de continuer à l’utiliser après 2010 à raison de deux vols par an, le temps que les systèmes de transport spatial développés dans Cots soient opérationnels.
Cependant, la décision finale sur tous ces sujets appartient au Congrès américain et nombreux sont les sénateurs qui voient d’un très mauvais œil l’abandon des pans entier du programme spatial. Le sénateur de Floride, un des états qui bénéficient le plus des retombées économiques des programmes de la Nasa et dont dépendent de nombreux emplois a clairement dit que les propositions d’Obama « décimaient le programme spatial des Etats-Unis ».

Quelles sont vos réactions face à cela?

Hum j'ai pas lu ton texte mais ca me paraissait prévisible...

Que veux-tu dire?

Ben qu'on est pas (les E-U encore plus) pour dépenser autant pour un tel projet. Malheureusement l'argent est souvent dépensé d'abord dans des guerres que pour les sciences...

Et voila : plus de retour sur la lune. Ce Obama m'énerve de plus en plus. Je me tais : je vais être grossier.

oui et non, je dirais que le président Barack Obama, veut insérer un système de santé publique et gratuit, chose inexistante au états-unis, et de plus il coûte pour un américain en moyenne 6400 $ par mois simplement lorsque tu es malade, à noté aussi que contrairement à la pensé populaire, une proportion imposante d'américain sont pauvres et travaillent jusqu'à 75 voir leur mort car il n'y a pas de fond de pension de retraite. Ensuite parlons de l'éducation aux états-unis, au Québec l'éducation universitaire est déjà très chère( environ 30 000$ pour suivre une maitrise) et aux états-unis cela peu s'avérer le double voir le triple. Les états-unis sont l'emblême même du capitaliste où l'on valorise les riches. Mais cette fois-ci un président tente de changer ses injustices sociales, et je crois qu'il lui faudra deux mandats. Il y a certes la controverse de la guerre en Irak qu'Obama pour un ensemble de raisons ne peut abolir, bien qu'il a diminuer cette guerre. Je ne dis pas Obama le souveur de USA, mais il est le premier à vouloir réformer.

Voilà les États-unis prennent des mesures sociales, et puis le Canada les détériorent de plus en plus, et le Québec encore plus que le Canada, vraiment augmentation des frais de scolarité, privation à petit feu de la santé....la liste est très longue.

Tabarnak !
Myast, pourrais-tu nous indiquer le décalage horaire en toi et nous?

J'ai 6h de décalage horaire, lorsqu'il est minuit chez vous il est 18h chez moi.
Tabarnak, bien écrit en plus. LOl

Bonjour à tous, un récent cpommuniqué e presse mentionne ceci concernant l'abandon d'aller siur la lune:
Nommé il y a 2 jours (Le jour ou la journée est l'intervalle qui sépare le lever du coucher du Soleil ; c'est la période entre deux...) pour un 3ème mandat à la Présidence du CNES, Yannick d’Escatha a réagi aux récentes décisions du Président américain Obama, qui vient de changer radicalement l’approche de l’aventure spatiale américaine.

En annulant le programme Constellation (Le Project Constellation est une nouvelle directive de la NASA qui détourne l’attention de l’observation et...), les Etats-Unis ont-ils renoncé à l’exploration habitée de la Lune (On appelle lune tout satellite naturel d'une planète, mais la Lune, avec un L majuscule, désigne le seul satellite...) puis de Mars ?
"M. Obama n’a pas sacrifié la NASA, il a augmenté son budget." précise d’entrée le Président du CNES, auditionné à l’Assemblée Nationale le 9 février dernier.

"La commission Augustine a constaté que le programme de George W. Bush Moon, Mars and Beyond n’était pas faisable dans les délais et les conditions prévues". Il s’agissait en effet d’un budget d’exploration de 10 milliards de dollars par an, auquel il manquait 30 % par an depuis 2005.

Pour autant, le président américain "n’a pas renoncé au vol habité ni à l’exploration". Barack Obama prolonge en effet l’exploitation de la Station spatiale internationale et privilégie dans un premier temps (Le temps est un concept développé pour représenter la variation du monde : l'Univers n'est jamais figé, les...) l’exploration robotique. Il montre sa volonté de garder l'exploration et le vol habité au coeur de la stratégie (La stratégie - du grec stratos qui signifie « armée » et ageîn qui signifie « conduire » -...) américaine, qui consiste à faire un saut technologique, assurant à l’homme sa capacité d’explorer l’univers de manière inédite. "Le Président Obama a recentré la NASA comme agence d’innovation, ce qui est précisément le positionnement (On peut définir le positionnement comme un choix stratégique qui cherche à donner à une offre (produit, marque ou...) du CNES."
De nouvelles opportunités de coopération internationale
Autre point (Graphie) important: en augmentant le budget de la NASA de plus d’un milliard de dollars, "il l’a rééquilibré au profit de l’observation de la Terre (La Terre, foyer de l'humanité, est surnommée la planète bleue. C'est la troisième planète du système solaire en partant...)" qui devient une priorité clairement affichée. "Nous sommes heureux de cette orientation (Au sens littéral, l'orientation désigne ou matérialise la direction de l'Orient (lever du soleil à l'équinoxe) et des...)", commente le Président d’Escatha lors de sa conférence de presse le 11 février. "Une autre conclusion majeure de M. Obama consiste à ouvrir l’exploration à la coopération internationale", ajoute Yannick d’Escatha. La mission Exomars (ExoMars est le nom d'une mission spatiale de l'Agence spatiale européenne prévue pour 2013 dans le cadre du Programme...), qui explorera la planète (Selon la dernière définition de l'Union astronomique internationale (UAI), « une planète est un corps céleste (a)...) rouge (La couleur rouge répond à différentes définitions, selon le système chromatique dont on fait usage.), désormais américano-européenne, en est une illustration.

"M. Obama commence par l'exploration robotique, sa priorité devient l'exploration de la Terre, il recentre la Nasa comme une agence d'innovation, et il développe un nouveau lanceur. Cela fait 4 points communs", se félicite le Président du CNES lors d’une interview donnée (Dans les technologies de l'information (TI), une donnée est une description élémentaire, souvent codée, d'une chose,...) à l’AFP. "La politique des Etats-Unis, qui se rapproche de la politique spatiale européenne et française, offrira des opportunités de développer la coopération."

Pour Yannick d'Escatha, l'exploration appelle "une gouvernance à haut niveau politique qui rapproche les nations, à la place d'une course à l'espace qui les divise, les oppose".

Autrement dit l'on retarde car la mission était encoérante, et car le bugjet était mal disposé, alors l'on décide de l'investir ailleurs, pour l'instant
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=7516

Je trouve vraiment déplorable le faite que les Etats Unis ont abandonner le projet de retourner sur la lune.

Cela semblait pourtant être un bon investissement. Si seulement on dépenssait moins pour certaines choses et plus pour d'autres.

l'homme est ainsi fait je tue mon voisin et mon jardin avant d'aller voir ailleurs.

je sais c'est un peu ironique, voir beaucoup, mais c'est une triste copie de ce que pense l'humain en général.

Certes mais politiquement parlant, je dirais que c'était la meilleure décision à prendre, pour les raison que les finances des états-unis vont mal, et puis pour ne pas me répéter les luttes sociales que l'on veut faire, D'ailleurs seulem ent un mandat ce président ne pourra pas changer tout ce qu'il veut. Mais Bush, avait mal financer son projet depuis le début, et au lieu de gaspiller cette argent dans un projet mal instauré,car c'est très difficile de faire de la planification par dessus quelque chose de mal définit dès au départ, est très difficile. Comme par exemple avec ma province, le système d'éducation qui part à la dérive, faut faire une réforme radicale, car tout réforme minimale, donne les résultats les plus minimal, tant qu'à moi pour ce qui est du système d'éductation il faut le revoir au complet. En tout cas en revenant à Obama, je trouve que c,est la décision la plus sage, que de ne pas se prétendre sauveur, et accorder du financement à quelque chose qui à la base va tout croche, il va falloir recommencer à neuf, le projet, le structurer en fait de lui accorder le financement requis.

La guerre est biensûr je dirais le passe-temps favoris des ex présidents des units-statdes since 1970 environ, mais là je vous assure qu'ils ont un politiciens intègre, qui d,ailleurs reconnait ne pas pouvoir arrêter la guerre en irak et mentionne que c,est innaccpetable que cette guerre est lieu, mais que c,est impossible de l,arrêter maintenant, il confirme parcontre que le retrait total des troupes se fera en 2011, il tente d'ailleurs de dialoguer avec les pays aux alentours tel que la Syrie, l'iran, c'est diplomate au lieu de leur tirer dessus. dès 2002, il s'oposait à cette guerre, qui est interminable.

De mon côté, j'estime que le programme Constellation ne mobilisait pas les efforts dans la meilleure direction. Maintenant ce sont les scientifiques et plus les astronauticiens qui ont les poches remplies, et ce n'est pas plus mal ainsi. Ce refus est raisonnable, somme toute. On entend assez de plaintes injustifiées comme "l'argent qu'on envoie dans l'espace devrait servir à autre chose" pour que la majeure partie de la population soit satisfaite...

oui, on satisfait la majeure partie de la population, moi je n'ai rien contre que les astronautes et les scientifiques est un bon salaire, il y a ce que l'on appelle raisonnable et draisonnable, je pense que peu-être sont-ils quelque peu surpayés, mais je ne pense pas qu'il faut en faire un cas. Je crois que le fait d'investir plus dans la Nasa montre une ouverture à la science spatiale et astronomique, donc éventuellement, mettre en place un plan mieux évalué, et dont les couts sont réels, et pas sous évalués. Mais une chose que je crois l'on doit réalisé, je suis totalement en faveur de l'évolution de la science et aussi de l'aventure spatiale, mais lorsqu'un peuple à besoin de financement pour ses structures sociales, il faut je pense, investir pour son bien.

Il y bien certainement l'ensemble des investissements des compagnies, et de la bourse, et de la banque mondiale qui cont contre ce sens et qu'en plus l'argent ne sert aucunment pour le peuple, et ça c'est de loin très choquant, mais bon, ça c'est un autre débat, née du libéralisme économique, et du manque d'interventionniste, voir d'encardrement de l'état dans l'ensemble de l'indsutrie, en ce sens je vous accorde haut fort, c'est choquant sous cette perspective de voir que l'on abandonne d'aller sur la lune.

Ola,

Franchement, ça sert à quoi d'aller sur notre lune? A la limite aller sur Mars serait un PEU plus intérressant mais n'apporterais pas grand chose à l'umanitée.

Etudions notre planète le plus profondément possible (On a encore énormément à découvrir) puis on pourra penser plus loin.

J'attend vos avis...

Citation :

Etudions notre planète le plus profondément possible (On a encore énormément à découvrir) puis on pourra penser plus loin.

L'un n'empêche pas l'autre. Il est même nocif de ne se concentrer que sur un seul objet en planétologie, car l'étude des planètes porte essentiellement ses fruits dans la comparaison des différents objets étudiés. L'examen approfondi de la Lune ou de Mars (ou d'autres corps planétaires) permet d'en apprendre davantage sur le fonctionnement de la Terre. On pensait qu'une famille de roches appelées andésites ne se formaient que dans les zones de subduction, or l'étude de Mars et des astéroïdes nous indique le contraire, puisqu'on y trouve des andésites sans la moindre possibilité de subduction. C'est un exemple très anecdotique, mais un exemple quand même.

Quand le programme Constellation a été annoncé, il donnait peu l'impression d'être une bonne idée. Maintenant qu'il est abandonné, je ne vois pas pourquoi se mettre à râler. Comme je ne vois pas non plus à quoi pourrait bien nous être récompensée l'installation, là, actuellement, d'une base lunaire permanente. Les temps me donnent le sentiment de ne pas encore être assez mûrs.

Je dirais que le dilemme que moi je me pose est le suivant, l'on parle qui manquera de territoire sur Terre, et pourtant je suis bien placée pour dire que beaucoup de territoire sont peu ou pas peuplée, tandis que certains sont densément peuplé... Et ensuite sur la lune c'est à la conquête d'helium-3 que nous y allons, enfin je suppose que le sous entendu économique est celui-ci, alors l'on part pour ne pas faire mieux... Certes étudier la Lune serait je crois quelque chose de très enrichissant, et je crois que personne ne peut réfuter cette argument, mais alors que l'on ne connait pas tout de notre océan, je me dis effectivvement comme toi duke, que notre Terre est encore une immense sphère à explorer. Il y a possiblement des effets géologique, qui probablement augmenterait la connaissance de notre planète avec la découverte des autres... mais à quelle prix!

Avec le discours d'Obama jeudi 15 avril le projet d'aller sur Mars est le but ultime cependant dans son programme il ne parle pas de poser le pied mais une mise en orbite autour de Mars en 2035 (comme l'iss).
Pour cela il propose un investissement en fonds publics de six milliards sur cinq ans.
Objectif: permettre le développement de lanceurs commerciaux d'ici 2015, afin de transporter à moindres coûts les astronautes américains à la Station Spatiale Internationale (ISS) que le président veut maintenir jusqu'à au moins 2020.

Il a d'ailleurs ajouté qu'il commencera par envoyer des astronautes sur un astéroïde pour la première fois dans
l'histoire d'ici au milieu des années 2030 et a annoncé que six milliards de dollars (environ 4,4 milliards d'euros) seront accordés à des sociétés privées (space x, boeing, etc) pour construire leurs propres navettes spatiales, après la mise à la retraite des navettes spatiales américaines.

En tout cas la navette sts-133 sera la dernière à ce lancer au mois de septembre car après ce sera au Russes d'assurer le total lancement des équipages vers l'iss.

Ce qui m'intrigue et l'après iss car à ce jour aucune station ne remplace l'iss de manière théorique pour l'instant car si l'on veut mettre en place ce projet il va peut-être falloir tester certaines technologies qui nécessite d'être tester en orbite.

Un survol ou la mise en orbite autour de Mars d'une capsule habitée était déjà mentionnée dans le rapport de la commission Augustine, il y a quelques mois. Une manière de faire qui va être frustrante pour beaucoup, mais justifiée par prudence et méthode.

Par contre l'envoi d'un équipage vers un astéroïde me semble très original. Je serais ravi de pouvoir suivre une mission comme celle-là.

A propos de la relève de la Station Spatiale Internationale, il reste la solution de la récupération, utilisée pour le Skylab : un étage de fusée ou une grosse capsule réaménagée en laboratoire spatial. Cela si l'on veut développer les expériences scientifiques en micro-gravité. Le développement de véritables plate-formes spatiales, quel que soit leur usage, est suffisamment déconnecté d'une machine comme l'ISS pour ne pas obligatoirement devoir lui succéder.

Pour l'atterrissage sur un Astéroïde est à comprendre (a mon sens) que d'atterire sur Mars avec un vol habitée est très dur du fait de la masse du vaisseaux (à contrario le décollage sera facile car nécessitant pas beaucoup d'énergie dût au peu de gravité).
Il ne sera pas impossible de voir des missions robotiques vers des astéroïdes ou des lunes de divers planètes pour "s'entrainer".

Précisons pour Augustine que Bush qui avait donné la ligne directrice et c'est conclu par le programme Constellation, les républicains lors des auditions concevaient que ce programme était mal enfiché par les retards répétées quand bien même un retour sur la Lune était techniquement plus envisageable.

Toutefois pour l'astéroïde c'est du même ordre que Phobos ou Déimos donc il me serait pas étonnant de voir un changement dans ce niveau là.

Voici un lien menant à un article publier sur enjoy space traitant de la nouvelle politique de Obama suite à la conférence du 15 avril 2010 :

http://www.enjoyspace.com/fr/news/obama-vise-les-asteroides-et-mars