Tout l'univers dans un forum |
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| Limite de l'univers? | |
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+13yamachris dulxolix zéro-hics Parkeïs poincare45 Yes Cpt_Igloo cronos doby Myast Physicien 34 Naos jaypeeboy33 17 participants | |
Auteur | Message |
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Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 3 Aoû - 23:35 | |
| Une gravité quantique ferait d'une pierre deux coup : elle justifierait sans l'effacer l'aspect probabiliste de la mécanique quantique tout en expliquant pourquoi cet aspect disparaît aux échelles plus larges. Là, on a le but, mais pas encore d'idée claire sur la façon de s'y prendre pour y arriver. | |
| | | Myast Supernova
Nombre de messages : 605 Localisation : Montréal, Québec age : Étudiante en histoire civilisation Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 4 Aoû - 5:16 | |
| En justifiant pourquoi cela change d'une échelle à l'autre, je n'en suis pas convaincue, puisque je pense, et je dis bien je pense, que l' on aurait deux système gravitationnel distinc. À moins que l'on résussisse à faire un déchiffrage d'échelle en échelle et que cela aboutisse à une conclusion de constante par rapport à l'échelle de grandeur....théorie à tester et surtout à construire.
Je reste convaincue qu'il y a quelque chose qui nous échappe dans la mécanique quantique. Qui vivra verra. | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 4 Aoû - 14:25 | |
| Une théorie unifiée des interactions devrait être ramenée à la relativité générale moyennant quelques suppositions, tout comme on pourrait la faire tourner à l'état de mécanique quantique moyennant d'autres suppositions. Ces "suppositions" portent entre autres sur l'échelle à laquelle on travaille. Si tu es convaincue que quelque chose nous échappe dans la mécanique quantique, la théorie dont je parle ici l'inclura. Non seulement la mécanique quantique passera pour quelque chose de particulier déduit d'un cadre plus général, mais on devrait aussi percevoir pourquoi ce genre de déduction n'est possible qu'à petite échelle. Il serait également possible de déduire autre chose de particulier (la mécanique "classique") du même cadre général, en travaillant à notre échelle, cette fois.
Les efforts d'unification des théories physiques ne servent à rien si l'on doit aboutir à deux systèmes gravitationnels distincts (si j'interprète cet adjectif comme "sans commun rapport"). Le but que l'on poursuit est tout de même de trouver ce commun rapport... Cette théorie expliquera comment elle se convertit en mécanique quantique ou en relativité générale, tout comme elle fournira les raisons d'être des différences entre ces deux formalismes. | |
| | | Myast Supernova
Nombre de messages : 605 Localisation : Montréal, Québec age : Étudiante en histoire civilisation Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 4 Aoû - 21:17 | |
| tu as bien interprêter, souvent j'ai l'impression de venir d,une autre planête avec mon language, lol, juste d'un autre continent.
Donc j'en déduis qu'il faudra trouver une gravité quantique, et un sens commun à tout cela avec celle de la relativité générale. On est d,accord | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 4 Aoû - 21:47 | |
| Ce dessin serait l'allégorie d'une théorie unifiée des interactions. La mécanique quantique constituerait le lapin et la relativité générale adopterait les traits du canard. Les deux semblent incompatibles et ne paraissent pas appartenir à la même structure. Actuellement, mécanique quantique et relativité générale passent pour deux théories distinctes car pour la première, les deux appendices à gauche sont des oreilles, mais constituent un bec pour la seconde. Pourtant, unifier ces deux formalismes physiques en un seul reviendrait à savoir comment jouer avec les traits pour donner l'impression de deux motifs distincts sur un seul et même tableau, en donnant la clé pour savoir quand et comment prendre les mêmes deux appendices tantôt pour des oreilles, tantôt pour un bec. Je fais remarquer pour conclure que ce dessin ne représente ni une tête de lapin, ni celle d'un canard, ni même les deux à la fois. Ce n'est ni l'un ni l'autre, et d'une certaine manière, il faut contraindre sa perception, "limiter" sa pensée en écartant toutes les possibilités sauf une seule pour ramener ce dessin, qui ne représente tout compte fait rien de cohérent, à un seul animal. | |
| | | Myast Supernova
Nombre de messages : 605 Localisation : Montréal, Québec age : Étudiante en histoire civilisation Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mer 5 Aoû - 8:05 | |
| Vu que je suis curieuse de nature, ça m'intrigue à savoir où tu as déniché cet exemple avec le lapin et l'oiseau...? car à première vue en regardant je remarque l'image et je me demande vraiment où est le lien avec la physique, mais en expliquand on le voit, mais bon je trouvais ça artistique c,est surtout pour ça que ça m'intrigue. | |
| | | Yes Planète
Nombre de messages : 257 Age : 67 Localisation : Colmar Date d'inscription : 19/07/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mer 5 Aoû - 8:45 | |
| Magnifque ! C'est absolument magnifique. Depasser les perceptions, contraindre son cerveau a se mettre dans un etat modifie de conscience pour affiner sa ''vue'',''sentir'' d'autres ''possibles'' et elargir son champ de conscience. Splendide. Les ayatollahs du rationnel en prennent un coup : les grandes decouvertes ont toujours ete intuitives, empiriques. Le determinisme est un enfermement que je recuse. Bravo 1000 fois pour cette demo | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 11 Aoû - 14:55 | |
| L'exemple, je le tiens de cours de philosophie des sciences. Un même phénomène peut recevoir des interprétations incompatibles, ces interprétations étant qualifiées d'irréductibles par les épistémologues (les gens qui étudient la manière dont on construit notre connaissance et notre compréhension du monde). Du phénomène physique qui peut être pris en charge et expliqué par deux théories, deux formalismes irréductibles, on passe au même dessin qui peut représenter les têtes de deux animaux différents. Voilà la portée de l'exemple.
On parle de dépassement des perceptions ou d'état modifié de conscience ; qu'on ne lise pas non plus ce que je n'ai pas écrit. Mon intention n'était pas démontrer que la science avançait par injection de substances psychotropes, mais d'illustrer le besoin, quand deux interprétations d'un même phénomène sont irréductibles, d'examiner les raisons que se donnent les tenants de l'une pour tenir à l'une, et les raisons que se donnent les adhérents de l'autre pour adhérer à l'autre. On aurait plutôt tendance à séparer l'exacte de l'erronée, alors qu'on part du présupposé, de l'intuition (elle-même fausse) qu'il en existe bien une exacte et une erronée...
Les choses ne se passent pas ainsi : on n'a pas raison ou tort quand on voit une tête de lapin ou une tête de canard, aussi fourni que soit l'échange d'arguments. On se trompe aussi quand on décrète que les "lapinistes" et les "canardistes" ont raison tous les deux car après tout, les deux tendances sont aussi fermement établies l'une que l'autre. En vérité, les uns comme les autres ont tort ; le dessin ne représente rien. Il peut évoquer une tête de lapin quand on le regarde d'une certaine manière, tout comme il peut rappeler une tête de canard quand on l'observe d'une autre.
Nous en sommes là avec la théorie unifiée des interactions. Elle est seule, unique, et on la dépeint actuellement sous les traits de la relativité générale moyennant certaines suppositions (l'intervention des grandes échelles de distance ou de masses importantes, par exemple), comme on en fait une mécanique quantique quand on raisonne autrement, principalement à petite échelle. Mais la théorie elle-même n'est ni réductible à la relativité, ni réductible à la manière quantique de voir les choses. Elle n'est pas non plus une simple superposition des deux. Elle n'est ni l'une ni l'autre, et reste encore à savoir quoi exactement. Les "ayatollahs du rationnel" sont parfaitement au courant de cela... on peut même dire que c'est d'eux que je la tiens, cette explication. | |
| | | Yes Planète
Nombre de messages : 257 Age : 67 Localisation : Colmar Date d'inscription : 19/07/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 11 Aoû - 17:35 | |
| Loin de moi l'idee de substances psychotropes. L'etat modifie de conscience apparait, par exemple, lors du stade dit hypnagogique qui precede le sommeil. Il survient apres une grande fatigue et se presente sous forme d'images, de visages inconnus ou d'endroits, connus ou meconnus de soi. Nous le vivons tous, mais nous ne le percevons pas tous comme tel. L'etat particulier de forte intuition, qui s'apparente a de ''l'absence'', et qui precede une grande decouverte est de cet ordre : etat modifie de conscience. Ce pseudo canard fait appel a une autre fonction de l'esprit. Tu corrobores avec ce qui precede que la myopie de notre cerveau est incommensurable. Quant aux ayatollahs, ils campent sur leurs 2 pieds, nous, nous avons au moins le merite de prolonger leur pensee avec des ''et si'' ''et si''. Car dans l'un des ces ''et si'', il y a peut etre une reponse tangible. Si je touille un oeuf suffisament longtemps, je le reconstituerai. Si je touille tous les eventuels ''possibles'', j'ai mes chances de tutoyer une approche de solution. | |
| | | zéro-hics Satellite
Nombre de messages : 43 Age : 59 age : fiouuuu beaucoup Date d'inscription : 21/05/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Dim 16 Aoû - 15:14 | |
| c'est bien cela la relativité. Des visions différentes selon l'endroit ou on se place. Pourquoi ce qui est relatif dans l'espace doit il devenir absolu sur terre. Au nom de quelle volonté, de quelles lois? La terre est un centre de convergence des dimensions spatiales? Wouaow! nous sommes donc bien le centre de l'univers alors. Une constante irréfutable induit que le fait est vrai, réel. Mais qu'en est il du fait tout aussi vrai et réel qui n'est pas étayé par une constante irréfutable. Est il ignoré, jeté aux oubliettes, sauvagement dénié? Un lapin ou un oiseau? Et si c'etait un lièvre atteint de myxomatose ou un dodo disparu? Ce qui est sur c'est qu'on a posé sur une page blanche des coups de crayon noir, il n'y a qu'a cela qu'on puisse se raccocher tout simplement parceque si on prend en compte l'ensemble de l'humanité, on s'apercevra vite que des troglodytes n'ayant jamais vu aucun de ses animaux ne saurait les décrire, pas plus qu'un défficient mental ou un bébé. Mais tous verront des traits dans un espace.Libre à chacun ensuite de dire cequ'il veut, il y aura des fumistes qui voudront nous faire prendre des vessies pour des lanternes, des rationnalistes qui affirmeront la représentation du dessin, n'empêche à la fin ce papier aura bien fait avancer les choses, il aura donner la possibilité à tous de se rendre compte de la présence des autres, et finalement c'est bien comme ça. | |
| | | Yes Planète
Nombre de messages : 257 Age : 67 Localisation : Colmar Date d'inscription : 19/07/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Dim 16 Aoû - 16:40 | |
| Je te rejoins en cela par le fait que nous prenons pour acquis les conclusions faites par une poignee de ''savants'' du 19eme et que l'on continue a sauter au coup du premier venu qui a le malheur de denigre Darwin. Il en est de meme avec Champollion dont les ''decouvertes'' me laissent perplexes. Je suis estomaque par l'assurance pretentieuse d'un Yves Copens. Je me suis fais vertement rembarer, en d'autres temps et sur un autre forum, lorsque j'ai compare notre ignorance a celle de cro-magnon face aux ondes hertziennes. Je ne pouvais pas avancer une hypotheses sans etre regulierement assomme par les theories qu'ils avaient ingurgitees et qu'ils me recrachaient avec l'assurance du devoir accompli. ''Penser'' sans filet est pour eux une perte de temps et considere avec commiseration et mepris. Nous passons notre temps a adherer sans mot dire a ce que nous lisons et apprenons sans aucun recul. Les ovnis, une possible vie apres la mort, l'astrologie et bien d'autres domaines sont balayes par, souvent, la peur du ridicule. Je suis desole de dire aux ''suffisants'' que je travail actuellement avec une psychanalyste sur la telepathie, suite a ce qui est enseigne dans les ecoles de psy : la pSychique quantique dans laquelle il est question du transport de l'information par le photon. Pragmatique de nature j'estime que mes constatations sont autant recevables que n'importe quelle autre. Pour finir, je crois me souvenir que Sagan dans Cosmos et Reeves dans Patience ont clairement emis l'hypothese d'une fuite des galaxies a une vitesse egale ou superieure a celle de la lumiere. | |
| | | zéro-hics Satellite
Nombre de messages : 43 Age : 59 age : fiouuuu beaucoup Date d'inscription : 21/05/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Dim 16 Aoû - 18:21 | |
| yes sir! J'aimerais savoir ce que tu entends par transport de l'information par le photon, parceque j'ai vécu récement un évènement qui me trouble au point de remettre toute ma conscience en cause. Mes repères ont été sérieusement bousculés par un phénomène qui n'a rien de rationnel, hors une vérité reste toujours une vérité. s' Il est impossible de négliger les principes méthodiques de la physique, il est également impossible de ne pas tenir compte d'une expérience métaphysique vécue. Et là je me demande vraiment ce qui se passe, aussi ton histoire m'éclairera surement. ( Forcément un photon ça éclaire) j'attend de tes nouvelles et constate en attendant qu'une fois de plus lorsque j'emprunte un nouveau chemin, un étranger s'y trouve toujours pour m'en indiquer la voie et ce,sans que je ne demande rien. étrange! | |
| | | Myast Supernova
Nombre de messages : 605 Localisation : Montréal, Québec age : Étudiante en histoire civilisation Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Dim 16 Aoû - 22:32 | |
| En fait, la structure d'une découverte se résume à une incompréhension suivie d'une expérimentation, où on en tire des conslusions, ces conclusions sont une interprétation logique des phénomènes vécus, lorsque la logique ne tient plus, ou est introuvé, alors penser et réfléchir est un signe d'intelligence en mon sens. Certe on avale tout ce que disent les scientifiques depuis des siècles et des siècle, car leur expérimentation on a donné un résultat qui coincidait avec le tout.
Mais en fait, c'est l'homme qui crée une image selon une logique préétablie que l'on nomme les maths. Tant que tout cela demeure logique, alors pourquoi pas. Bien sûr il manquera les expérimentations, mais de nos jours c'est de plus en plus difficile donc l'on pense plus que ce que l'on peut savoir. Reste que pour émettre des hypothèses, il faut bien sûr un minimum de connaissances de base comme voir beaucoup.
Je te rejoins grandement Yes, lorsque tu dis que l'on se fait carréement "poignardé" si tu oses penseer plus loin que ce que le cadre pré-établie le permis, et c'est très dommage, car penser est signe d'intelligence, au lieu de tapper immédiatement sur la tête. l'on devrait donner des pours et des contres, si ça ne tient réellement pas expliquer pourquoi exactement.
Ensuite pour les expérioences méta-physiques, je dirais qu'il y a bien des choses qui sont étrangères à l'humain, et souvent l'imcompréhension nous fait peur, voilà. Pleins de choses ne sont pas comprises au niveau du cerveau, que le photon transpaorte l'information, j'avoue ne pas comprendre le comment exactement, même l'imaginer avec mon coté rationaliste, mais sérieux ça m'intrigue. | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 17 Aoû - 3:18 | |
| Il est légitime de se sentir vexé quand la proposition polie de sa contribution ou la présentation du fruit de ses réflexions personnelles se voient soldées par un rejet aussi sanguin qu'épidermique. Ingurgiter et recracher avec l'assurance du devoir accompli peut sans doute être agaçant pour le récepteur, mais là réside pourtant la tâche à laquelle s'astreint l'amateur de sciences. C'est un devoir devenu naturel et inconscient avec le temps, qui appartient à une manière de fonctionner propre à la science. Aussi, jeter un blâme ne s'avère pas meilleure réaction. - Pascal a écrit:
- ''Penser'' sans filet est pour eux une perte de temps et considere avec commiseration et mepris.
Si vraiment il y avait condescendance, arrogance et mépris, alors c'est bien à "eux" qu'appartient le tort. La réaction la plus judicieuse aurait été la méfiance et la circonspection, ou encore la suspension de jugement. La libre pensée est une valeur à laquelle on accorde une valeur positive, à cause de la propagande démocratique de nos sociétés, la circulation non contrainte des opinions étant censée donner la mesure de la santé du système. Mais cela ne s'applique pas aux sciences vulgarisées, et celui qui s'attend à être encensé pour le foisonnement d'idées qu'il est capable d'entretenir confond les registres, et doit voir son attente frustrée avec une plus ou moins d'aigreur, selon son tempérament. S'il y a des scientifiques dégoulinants de suffisance, il y aussi, et pas très loin, des profanes débordants d'assurance, persuadés qu'ils sont de viser juste pour la simple raison qu'ils sont les propres auteurs de leur discours. Il faut vraiment qu'on m'explique en quoi le fait de penser sans filet amène à ne pondre que des vérités. Et si l'on admet que l'indépendance d'esprit n'empêche pas de se tromper, alors il ne faut plus s'étonner de rencontrer une résistance. Le fait d'intégrer et répéter une connaissance en donnant l'illusion de ne pas posséder une once d'esprit critique n'est pas un comportement connoté négativement dans le domaine restreint des sciences. C'est même la raison d'être de tout un corps de métier, celui de la vulgarisation et de la médiation scientifique. Dès lors, les critiques passent pour infondées. Les professionnels ont commencé (fin du dix-huitième) par refuser d'entendre les profanes, et les profanes en sont arrivés, pour la plupart, à ne même plus chercher à se faire entendre. C'est une mesure protectrice pour le développement des sciences, dont tout le monde finit par bénéficier : en rendant la frontière entre professionnels et amateurs étanche dans un sens, on évite le parasitage et l'éparpillement du débat scientifique vers des points de vue déviants, stériles et sans avenir, fussent-ils déguisés dans des mots sonnant plus sérieux, comme le sémillant "mon idée", le délicat "mon hypothèse" ou le frondeur "ma théorie". Évidemment, ce genre d'imperméabilité a un prix, et celui-ci se résume, vous vous en doutez sûrement, aux idées profanes réellement valables qui sont jetées comme un bébé plein de promesses avec l'eau du bain d'insanités intellectuelles dans lequel il trempe. Un amateur autodidacte est tout à fait capable de faire avancer un domaine scientifique avec des connaissances qu'il aura mises en forme tout seul. Seulement, ces réflexions de valeur ne représentent actuellement qu'une infime minorité de ce qui peut émerger des cerveaux enthousiastes ; c'était plus facile avant. Tout le reste ne pourra être intégré dans aucune théorie, aucun formalisme. Au lieu de tout accepter, tout laisser passer et devoir effectuer un tri épuisant, la communauté scientifique a préféré donner l'impression d'un isolement, pour réfléchir jusqu'à ce qu'un professionnel trouve "la" bonne idée, même s'il est en principe possible (quoique rare) qu'un amateur l'ait formulée avant lui. A quoi bon fouiller dans un wagon-citerne rempli de merde pour trouver la pièce de deux centimes que l'on peut, avec un peu de chance, ramasser proprement sur un trottoir lors d'une future promenade ? Maintenant, que cette attitude un tantinet défensive passe pour méprisante et entêtée, c'est injustifié tout comme c'est normal... surtout quand celui ou celle qui la subit est un peu trop sûr de lui ou elle et persuadé(e) d'avoir raison. - Myriam a écrit:
- on devrait donner des pours et des contres, si ça ne tient réellement pas expliquer pourquoi exactement.
Ce n'est pas aussi simple que cela. Bien souvent les "explications du pourquoi exactement" passent pour des connaissances stupidement ingurgitées et sans valeur de preuve de la part de celui ou celle qui les reçoit. On imagine que c'est facile de dialoguer, de peser les pour et les contre, mais quand chacun est convaincu de parler pendant que l'autre babille, qu'on considère l'éducation comme le processus grâce auquel "Moi" a appris la vérité et le lavage de cerveau comme le processus à cause duquel "Toi" ne raconte que des fadaises, il n'y a plus aucun dialogue. Le mieux reste encore d'avoir vu le côté pile comme le côté face, c'est-à-dire avoir cherché à diffuser une idée pertinente et une fantaisie baroque. C'est ce qui m'est arrivé à quelques années d'intervalle, et les réactions étaient très contrastées ; j'oserais même écrire opposées. Du temps du délire extravagant, j'ai rencontré l'ignorance amusée, un peu goguenarde sur les bords, de professionnels sachant très bien que je ne pouvais pas les aider, et ils avaient raison. J'ai fini par en prendre acte tout seul, après avoir approfondi un sujet que je croyais jusque là bien connaître. Échange de rôles radical pour accueillir l'autre idée, celle qui tenait debout : là, il n'y a plus d'assurance matamoresque qui tienne de la part des professionnels. On rencontre même un intérêt non feint, voire l'initiative d'alimenter la réflexion et pousser plus loin le raisonnement, éclaircir les zones d'ombre qu'il resterait. Alors qu'au moment de présenter le résultat au public, il y en avait plus d'un pour trouver la chose inutile ou pas sérieuse. J'ai trouvé cela très curieux. - Pascal a écrit:
- Pour finir, je crois me souvenir que Sagan dans Cosmos et Reeves dans Patience ont clairement emis l'hypothese d'une fuite des galaxies a une vitesse egale ou superieure a celle de la lumiere.
Et pour rebondir là-dessus, ce n'est pas du tout une hypothèse, mais un fait rendu nécessaire par la réalité même de la récession des galaxies. On a une loi de Hubble qui s'écrit v = HD. Si l'on pose v >/= c, alors il vient, après substitution dans la formule, HD >/= c. D'où on isole D >/= c/H, qui représente la distance à partir de laquelle la récession s'effectue, de notre point de vue, plus rapidement que la lumière. Le travail sur la télépathie ou les OVNI, a priori je n'ai rien contre, puisque ce n'est pas à moi de me prononcer sur ces sujets. Ce n'est pas par laxisme ou permissivité guidée par la foi au relativisme, c'est surtout parce que je ne dispose pas des prérogatives nécessaires pour assurer de manière crédible mon rôle de "suffisant" (en plus je dois être assez énervant comme ça ). Je ne vois pas pourquoi je dénigrerais les auteurs de témoignages d'expériences surnaturelles - disons-le comme ça - puisque j'en ai subi une aussi. Et on ne peut pas mettre cela, comme d'habitude, sur le compte d'une bête hallucination ; j'en ai gardé des "stigmates" corporels, qui se sont rapidement estompés. L'astrologie, c'est plus proche de mon domaine, et j'en suis arrivé à considérer cela comme "un ensemble de superstitions objectivement fondées". Après tout, c'est un avantage de fréquenter les forums d'amateurs : on peut toujours s'indigner que quelqu'un marche sur la tête de l'autre, et en somme personne ne peut avoir tort, puisqu'on n'est jamais certain que celui d'en face a raison. | |
| | | zéro-hics Satellite
Nombre de messages : 43 Age : 59 age : fiouuuu beaucoup Date d'inscription : 21/05/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 17 Aoû - 11:37 | |
| Naos, je suis en train d'écrire un livre à mi-chemin entre "il etait 7 fois la révolution" d'etienne klein et le tout récent mais décevant "le 1er jour" de Lévy. Puis je emprunter dans ton discours certaines tournures qui me plaisent bien.Je rajouterai en échange des remerciements à la fin pour le forum. Je plaisantai. Mais j'aimerai te poser 2 questions à toi précisement. Comment expliquerais tu le fait que tu ailles chopper dans ton sommeil une information sur un évènement qui se produira dans la réalité 15 jours + tard, en acceptant le fait que tu as vu de cet évènement le moindre détail. Si ça c'est pas du voyage dans le temps ,qu'on me damne. Je ne veux pas entendre parler de prémonition, ça m'interresse pas, je souhaite avoir du scientifique! 2ème question: Comment réagirais tu si une personne qui t'es totalement inconnue vienne te parler avec le timbre de voix et les tics et intonations d'un être cher que tu aurais perdu il ya des années, et que cet inconnu te soutienne mordicus qu'il est juste un médium emprunté par cet être cher. Sauf que ce médium transforme sa voix quand il te dit des choses que toi seul sait. Je suis agnostique ,je voudrais comprendre quelle sorte de résonnance ces genres de phénomènes peuvent créer chez un scientifique. | |
| | | Myast Supernova
Nombre de messages : 605 Localisation : Montréal, Québec age : Étudiante en histoire civilisation Date d'inscription : 25/10/2008
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 17 Aoû - 17:10 | |
| Franchement Naos tu n,es pas énervant, lol Libre expression, et de toute façon tu dis environ la même chose que je veux dire, sauf que disons que je trouverais ça le fun de pouvoir débattre plus, même si nous sommes des amateurs, ça nous fait quand même "rêver" voir avancer dans notre réflexion. Disons que tu as une vision plus rationnelle de voir la chose, voir plus raisonnable, mais bon. Mais de là à considérer ceci comme une grande théorie, non, c'est plutôt une manière d'analyser les choses avec les connaissances que nous avons.
Le 15 jours plus tard, heu je sais que parfois l'on fait des certains arrêts du cerveau, comment dire, le cerveau à une abscence de quelque secondes, donc par la suite l'évênements te semble déjà vu. Et par "coincidence" tu as fait un rêve qui était semblable, mais le fait d,avoir eu une légère abcence cérébrale à donner l'impression que tout ceci venait du rêve. C'est mon opinion, ma théorie. LOL
Pour l'autre chose, heu aucune idées. LOL
mais bon ce n'était pas à moi de répondre, mais la tentation était trop grande. | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 17 Aoû - 17:47 | |
| La conscience est ainsi faite qu'elle ne perçoit la dimension du temps qu'instant par instant, dans un défilement successif et toujours dans le même sens. L'espace quant à lui peut se percevoir dans sa globalité, et non comme une succession d'éléments infinitésimaux s'excluant les uns les autres. En comparant la dimension du temps à celle de l'espace, c'est un peu comme si on ne voyait les lignes que point par point, les surfaces ligne par ligne et les volumes tranche par tranche. Un couac dans ce boulonnage de la conscience à ce que l'on appelle "instant présent" pourrait bien nous donner à vivre ce qui appartient au passé ou au futur. On parle de prémonition parce qu'il n'existe pas d'explication scientifique valable. Elle viendra peut-être, mais là... pas assez d'éléments disponibles pour étayer une compréhension complète de ces phénomènes. Idem pour le médium. Je dois dire que cela vient en contradiction avec le point de vue que je me suis fait sur le sujet, mais que je me suis surtout fait indépendamment de considérations scientifiques, car il faut bien reconnaître que la science ne s'avance pas là-dessus, sans avoir de bonnes raisons de le nier ou le tourner en ridicule. Je n'ai pas les moyens de savoir "scientifiquement" comment ça se fait, même si ces moyens ont toutes leurs chances d'être découverts un jour ou l'autre. On en revient à la réserve et à la suspension de jugement. | |
| | | zéro-hics Satellite
Nombre de messages : 43 Age : 59 age : fiouuuu beaucoup Date d'inscription : 21/05/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 17 Aoû - 18:08 | |
| OK! merci pour ces points de vue. Je n'en ai pas tirer le jus que j'escomptai mais c'est normal. Je crois qu'il est difficile pour quiconque d'expliquer de tels phénomènes, même si d' explication logique et parfaitement acceptable il y en a, au moins une, celle que je me suis faite. LOL. Je dirai à myast que non c'est pas un déja vu , c'est bien un rêve prémonitoire d'une précision quasi chirurgicale. C'est bien un saut dans le temps parce que je sais ce que j'ai révé et en plus j'ai eu la chance de partager ce rêve avec mes collègues avant l'évènement. C'etait un match en 1991. J'ai fait fort la veille quand ils sont tous allé de leur pronostics et que moi j'ai donné ma version dans le moindre détail. Le lendemain du match tout le monde me demandait les n° du loto ce dont je n'avais rien à foutre, c'était autrement plus important pour moi de comprendre ce phénomène. Aujourd'hui 18 ans plus tard aprés avoir rencontré le médium, j'ai enfin eu une réponse à ce qui m'avait longtemps perturbé. Et cette réponse me va bien parcequ'elle est plus scientifique qu'autre chose.Bref mes convictions en ont pris un coup. | |
| | | dulxolix Ptit nouveau
Nombre de messages : 3 Age : 66 Localisation : Bagneux 92 Date d'inscription : 24/08/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 24 Aoû - 19:08 | |
| Bonjour à toutes et à tous ;
Pour revenir à notre sujet ; dans son livre « L’univers chiffonné » de JP Luminet, la cosmologie moderne regroupe trois grands domaines : la cosmologie géométrique qui spécule sur les propriétés locales de l’espace-temps, de sa forme et de ses frontières, incluant les singularités et les horizons ; la cosmologie physique, qui traite des processus matériels qui se déroulent dans l’univers à tel ou tel stade de l’évolution ; la cosmologie observationnelle, qui cherche les faits bruts : décalages spectraux des galaxies, rayonnement de fond cosmologique, mirages gravitationnels, distributions de quasars, des amas de galaxies et des grandes structures. Dans la limite de nos connaissances dans ces 3 grands domaines, si l’on considère 3 points particuliers de l’univers qui sont (1/ la terre, 2/un point à 13,7 milliards d’années-lumière de la terre qui est la limite théorique de l’âge de l’univers ,3/un point à 1000millards d’années lumières de la terre sensée dépasser l’âge de l’univers) Peux ton considérer que : Le 3e point inobservable peut exister, géométriquement et physiquement ? Que des observateurs présents sur les 3 points puissent voir la même chose dans toutes les directions ? Que ces 3 points puissent n’avoir fait qu’un, lorsque la matière était ultraconcentrée à l’époque du big-bang ?
Merci | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Lun 24 Aoû - 21:19 | |
| 1) Oui, si l'Univers est assez grand, il y a quelque chose à 1000 milliards d'années-lumière d'ici.
2) Uniquement si l'Univers est réellement homogène et isotrope (on n'a pas encore eu la preuve du contraire) et que les trois points sont considérés au même instant dans l'histoire cosmique, alors les observations cosmologiques menées depuis les trois endroits sont semblables. Depuis le point 2 par exemple, c'est la Terre qui se situe sur l'horizon cosmologique. Depuis le point 3, la Terre comme notre horizon cosmologique sont inobservables. Le concept d'horizon cosmologique emprunte beaucoup à celui d'horizon terrestre : il ne correspond à rien de réel, rien de concret, et ne vaut que pour un observateur, à la position précise qu'occupe cet observateur.
3) C'est obligatoire. | |
| | | zéro-hics Satellite
Nombre de messages : 43 Age : 59 age : fiouuuu beaucoup Date d'inscription : 21/05/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 25 Aoû - 10:12 | |
| Big Bang! la première origine, un écho puissant et résonnant.La fission moléculaire se répercuta en s'amplifiant à travers le continuum, libérant par vagues successives des myriades de poussières multicolores. Gigantesque apparition comparable aux tonnes de krill que berce à sa surface une houle maritime. Au sein de cette étendue, des milliards de particules bigarrées virevoltèrent dans le vide. Elles se comportaient de façon totalement anarchique, fusant de toutes parts, empruntant des trajectoires insensées, s'entrechoquant les unes aux autres, inondant l'espace. La quantité de ces têtes d'épingles se multiplia en cadence régulière. Il régna dans ce champs cosmique une débâcle infernale. Monstrueux cataclysmes et explosions titanesques de 1000 feux d'artifices colossaux. L'extravagante violence d'un somptueux balai aérien. Puis, tout s'accru de façon empirique. Les atomes s'espacèrent, prirent une nouvelle place, ils s'agençaient. Le chaos s'étendait à perte de vue.La variété des espèces était proprement incalculable. La beauté de ces rondes rythmiques, fulgurante. Les sphères infimes se percutaient dans leurs courses éffrénées créant ainsi de nouvelles saveurs, de nouvelles textures à la fois éclatantes de lumière, flamboyantes ou mat. L'univers achevait là sa mélodie de la poésie. En moins de temps qu'il n'en fallait pour l'écrire. Tout le reste n'est que conception humaine. | |
| | | dulxolix Ptit nouveau
Nombre de messages : 3 Age : 66 Localisation : Bagneux 92 Date d'inscription : 24/08/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 25 Aoû - 11:48 | |
| La notion de volume, Comme le big bang c'est à la fois la création de l'espace et du temps, les notions de temps et de volume de l'univers sont biaisées dès le départ. Que le temps 0 n'existe pas puisque le temps est créé par le big bang soit, mais n'en est-il pas de même pour son volume? Son inflation ou décompression ne se fait que dans lui même puisqu'ailleurs ça n'existe pas. Dire qu'il a été plus petit que maintenant, me laisse perplexe ? Peut-être faisait-il le même volume que maintenant, tout en étant plus chaud et plus compact ? Tout ce que nous pouvons affirmer c'est que 2 points observable de notre univers s'éloignent inexorablement, mais en aucun cas nous donne l'évolution du volume de l'univers dans le temps. D'ailleurs dans le dernier pour la science de aout 2009, l'article sur la cosmologie pose la question sur le fait que nous avons peut être une position privilégiée dans l'univers. Peut être sommes nous dans une région particulière de l'univers (bulle de vide) obligeant son expansion locale a être prononcée, mais d'autre régions ne montre peut être pas une expansion aussi prononcée, voir nulle ?
Merci | |
| | | zéro-hics Satellite
Nombre de messages : 43 Age : 59 age : fiouuuu beaucoup Date d'inscription : 21/05/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 25 Aoû - 13:06 | |
| Le temps est relatif dans l'univers, du moins s'il existe, mais comme par miracle il devient absolu sur terre. La lumière de l'univers, qui est omnidirectionnelle aboutit sur terre en un point d'observation. Donc la terre est un point de convergence de la lumière et du temps. Et ceux ci, qui sont dantesques partout dans le cosmos deviennent minuscules sur notre planète.La terre comme centre de l'univers, pourquoi pas hein? Pourquoi pas revenir aux croyances d'autrefois, prétendre que Paris est le centre du monde, ou que moi je suis le meilleur des hommes. lol. Nous sommes voués à observer l'oeuvre, la grande oeuvre depuis des temps immémoriaux et ce jusqu'a ce que nous n'existions plus. Que nous reste il d'autre, sinon que de tenter de la transcender? Personnellement je suis désabusé, je n'ai plus confiance dans la simple observation. Je crois de moins en moins à ce que l'on nous dit, j'en viens à penser que les choses pourraient bien se passer à un tout autre niveau que celui auquel nous sommes accrochés. Le souvenir d'un ordre séculier ou les évènements s'enchainent en une suite logique, avant pendant aprés, est de plus en plus ténu. | |
| | | Naos Modérateur
Nombre de messages : 2325 Localisation : Liège Date d'inscription : 09/03/2005
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Mar 25 Aoû - 15:23 | |
| La seule manière de rendre l'Univers plus chaud et plus compact, c'est justement de diminuer son volume. On ne peut pas faire l'un sans l'autre. | |
| | | dulxolix Ptit nouveau
Nombre de messages : 3 Age : 66 Localisation : Bagneux 92 Date d'inscription : 24/08/2009
| Sujet: Re: Limite de l'univers? Dim 30 Aoû - 19:08 | |
| J'avais bien compris que la réalité physique indiscutable est qu'un univers plus chaud à son origine est pour tout un chacun forcément compressé et représente forcément moins de volume, mais le sens de ma question est: A-t-on une idée de ces volumes avant et après le bigbang et dans quoi baignent il ? Sans comparaison peut on avoir une idée de ces 2 volumes?
Est ce pour vous au départ une énergie infinie en un point, ou comme pour d'autres la taille du système solaire et maintenant un volume inconnu peut être hétérogène qui est dans rien ou dans ailleurs comme nous le montre les connes de lumière de Stéphane Hawking, puisque notre espace temps n'y est pas encore parvenu ?
Merci pour votre réponse | |
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