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 UMMO

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anruaderobdny
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Date d'inscription : 10/05/2015

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MessageSujet: UMMO   UMMO EmptyDim 10 Mai - 23:30

- Allo Ummo, l'évolution, la progression de la conscience par les connaissances à t-elle un but? -

Certainement elle l'est car on s'écarte du plaisir personnel, de l'immaturité, des fantaisies dont "l'être" s'était attacher. Ces propres attachements qui limitent l'être dans sa véritable progression.
Il est alors possible d'agir avec "conscience" (ou plutôt avec responsabilité et sérieux). De prendre aussi connaissance de soi comme étant la résultante de la collectivité, du groupe. De progresser tel une conscience collective, harmonieuse et organiser dans le vivre ensemble comme étant un tout.
Mais cela suffit-il à l’être (ou à la conscience collective)?
Voyez-vous, avant cela la collectivité et ses êtres séparés étaient plongés dans le chaos,la division, l'immaturité. Et en ayant tiré des leçons par l'observation, la constatation et la réflexion de leurs expériences passées les êtres ont pu ainsi évoluer. Et développer un vivre ensemble, une société organisée "juste".
Cependant pour développer ce vivre ensemble s'agissait-il d'apprendre de ces expériences passés uniquement? Ou d'apprendre sur soi-même avant tout?

Car pour organiser un vivre ensemble juste encore faut-il être juste avec soi-même, n'est-ce pas? encore faut-il être honnête avec soi-même, encore faut-il oser ce regarder sans mensonge et en levant tous les voiles. Car pour établir un vivre ensemble et tirer les leçons de son passé il faut déjà savoir écouter l'autre. Encore faut-il mettre en suspend sa vérité à soi que l'on a tiré de ses expériences personnelles, de ses conflits, de son passé. Il faut être totalement présent pour écouter vraiment(sans les filtres du passé, la mesure et les jugements qui en découle). Car si l'on filtre à travers sa logique, ses connaissances accumulées etc alors on ne s'harmonise pas avec l'autre et l'on écoute que soi-même. Mais en écoutant (réellement)les autres et le groupe il est possible de s'écouter sois et d'être "juste" ensemble (enquêter ensemble pour la connaissance).
Dès lors la conscience collective s'installe naturellement à l’intérieur de chacun formant le groupe, et aussi à l’extérieur par la connaissance des sciences et l'organisation extérieur de la société. Dès lors l'homme est l'autre, et le groupe. Car il à su écouter vraiment. Pour écouter il à mis donc sa personne de côté. Il est devenu impersonnel. Et désormais sa personne est au service de la conscience collective.

L'homme à donc transcendé les intérêts de son égo pour être juste envers lui même et les êtres.
Il a laissé l’immaturité, la fantaisie, les plaisirs et les conflits personnels. Il s'est détaché de tout cela. Car il a compris que cela provoquait le chaos, la confusion, l'injustice, et inobjectivité (la non observation) de se qui se passe en soi et à l’extérieur de soi (l'inconscience).
Dès lors il s'est voué à la conscience collective. car dans l'unité; la division, la confusion et le chaos ne sont pas. Il agit donc au sein de celle-ci consciemment, responsablement et pour et pour elle.

\\((( -l'être qui à su trouver cette état et sans aucun attachement psychologique/obsessionnel, n'as pas besoin d'aller chercher en dehors de lui - Sauf si il découvre “un manque” (une chose de plus qu’il n’a pas expérimenté, menant à “une vérité d’un nouveau temps”) il peut alors faire un travail de conscience plus approfondi et plus "risqué - consistant à avancer vénérablement et responsablement pour aider son prochain, semblable à lui même. Au fur et à mesure que cet être avance vers l'inconnu il se fragmente d'avantage mais grâce à l'état de conscience antérieur qu'il a acquit, il avance maintenant en faisant -attention- en maintenant cette conscience et en apprenants toujours plus des fragmentations de lui-même qu'il a crée par la non-staticité de son être qui prend le risque de se sacrifier à lui même à chaque pas qu'il fait vers son semblable pour l'aider sans nul autre position que de se reconnaître l'un dans l'autre. Il s’en remet alors à “la science la plus pure et sans aucun calcule”, tout en étant conscient de son avancé vers lui-même)))//

Lorsque la connaissance emprunte une direction, même nouvelle. Dès lors la connaissance est limitée. Si à partir d'une position, un angle d'observation, d'une direction on observe ce qui est autour, alors on manque d'objectivité, c'est de cette manière que l'on conceptualise tout ce qui nous entoure, aussi bien avec les meilleurs calcules mathématiques, que la plus grande logique trouvée. On décode alors le monde à partir de sa position, ses jugements, son égo (car on est la position). Dès lors on s'attache à sa vérité, à sa position, au chemin d'analyse empruntée, et des connaissances que l'on en a tirées; l’égo demeure (aussi collectif soit-il) dans la division et le conflit (la séparation) et le chaos (le désordre) avec les autres consciences collectives ou êtres (division de soi), qui tout comme eux ont empruntées un autre chemin, une autre logique, une autre position. C'est pour quoi il est important de ne tirer aucune fierté du chemin que l'on a empruntée, et de ne jamais s'identifier à personnellement (dès lors que l'on en a pris totalement conscience), des connaissances développées, de son évolution etc. Mais au contraire toujours garder à l'esprit que l’on est totalement responsable du monde, de l’univers qui nous entoure, divisé et fragmenté comme il est. Cela vient de soi-même et de ce à quoi l’on s’identifie et ne s’identifie pas. Avancer dans ce chemin qui est le sien avec responsabilité et “recule identitaire” est donc nécessaire pour retrouver l’unité dans la diversité. Il s’agit d’une expérience nouvelle de notre temps vers ce à quoi tend “la conscience”.

Il est important de se voir les uns les autres au delà des différences, au delà des connaissances, au delà des jugements, au delà des voiles et des apparences. La véritable conscience collective est là, ainsi que le challenge de l’être. Des groupes qui se confortent dans leurs vérités pour se sentir en sécurité, il y en a déjà beaucoup (à toutes les échelles), et sûrement ce serait un danger pour ce qui est de “l'expérience La vérité Absolu”, qu’un groupe, ou une conscience collective (par le rassemblement des expériences des autres groupes/êtres) devienne un jour universelle. Le sentiment d’un manque, de mensonge à soi se ferait certainement sentir de toute façon et la division se referait naturellement pour que l’on puisse se retrouver autrement.

Car une conscience collective qui n'est pas -impersonnelle- ne peut voir. Ne peut voir se qui est. Ne peut écouter sans filtrer avec ses connaissances ou jugements, ne peut sentir ni toucher et reconnaître au delà de ce qu'elle connaît déjà (par ses expériences appartenant au passé- Ne peut donc être totalement présente avec ce qui est). C'est là que le défaut de l'être montre ses limitations.
La conscience collective, (groupe des individus peu importe sur quel plan) est une “entité à part entière qui bouge, s’articule en symbiose avec ses composantes certes. Mais aussi parfaite soit-elle -il ne s'agit que d'un être à une autre échelle-, et la source de ses conflits (division) reste entière, camouflée par le système développé à son vivre ensemble. Et le chaos peu resurgir (car présent dans la profondeur de son être) à partir du moment où cette conscience collective regarde autour d'elle et agit à partir de la position qu’elle incarne.

L'unité dans la diversité se retrouve à toutes les échelles, car sa source demeure en un point unique. Et c'est précisément là que l'être ne veut pas être, ne veut pas regarder (car l'être prend des décisions personnelles (choisi) en fonction de ce qu'il veut ou non, même motivé par la soif de connaissance). C'est pourtant précisément là que l'on vient, ce cette “source” et que tout a commencé et l’on agit dans sa méconnaissance (où en la connaissant extérieurement, par l’interprétation de ce qui est). C'est précisément là que se trouve notre identité la plus vraie, la plus authentique.
Mais l'on n'ose pas regarder car on préfère avancer vers la futilité, vers des envies d'accomplissements par le monde extérieur, vers se que l'on connaît, vers des découvertes qui sont à l’extérieur de soi. Et ainsi on va vers ce que l'on appelle l'évolution, la progression car on veut toujours plus que ce que l’on est... Et cela dans l'ignorance (ou plutôt le mensonge) de qui on est vraiment (bien que le sachant au fond). On observe partout, autour de soi, des sensations futiles provenant de sa division qui viennent à soi par l’interaction (influence de ses division) et ainsi on passe à l'action en soi et autour de soi.
Puis il est alors possible par l’observation de prendre certainement conscience de ces sensations qui nous viennent des d'influences extérieurs et des réactions personnelles qui s'en suivent.

Ainsi on s'observe avec son regard -personnels- (en tant que conscience collective, ou individuelle), on apprend et on agit, puis évolue en conséquence. Il est alors possible de prendre conscience que encore une fois, cette dernière observation -action choisie- car étant le constat que l'on a tiré sur ses sensations observés antérieurement. Cela s’étant donc fait à partir d'une observation personnelle qui elle même à dégagé une sensation une compréhension et une action : modification de comportement vers une observation plus consciente de son être : évolution de la conscience. Ainsi on se croit être des êtres intelligents sans même réaliser que sa connaissance est limitée de par sa position/chemin analytique, et conscient - aussi conscient qu'un automate, prisonnier des programmes qu'il s'est crée à lui-même, pense l'être - .

Pourtant la sensation, celle qui est incommensurable, celle qui n'est pas futile, celle qui Est : ne s'observe pas à partir d’un point, d’une position, ainsi elle ne peut provenir d’une observation personnelle. Cette sensation incommensurable, ne peut être analysée. Ne peut être comparée, ne peut être ressenti par un esprit limité (par un positionnement, un chemin, la confusion; ni même par une objectivité scientifique qui serait une prise de position).
C’est pourquoi il faut à la conscience savoir être totalement impersonnel pour être totalement Avec.

Ill s'agit de “la sensation” (ou peut importe le mot), il ne s'agit plus de soi. Cette sensation nous relie tout à chacun, et c'est là que qu’elle devient -“un langage”- une reconnaissance universelle et transcendantale.
Ainsi ou se retrouve au delà de nos différences, de nos identités, clivage sociaux, de nos positionnements, de nos chemins personnels, de nos consciences individuelles ou collectives, de nos nations, de nos planètes, des univers et dimensions.
Il ne s'agit désormais en aucun cas de sa volonté personnelle.
Il est donc important d’être d'honnête, responsable et le plus naturellement et d’avancer de manière transcendantale avant tout. Ainsi il est possible de revenir avec ses différences et positionnements en incarnant la sensation/la connaissance/l'intelligence, ce qui est vraie, authentique, en donnant les actions, les mots justes au bon moment à sont prochain, sans faire appel à ses connaissances, ses jugements, ses ressenties ou ses raisonnements personnels, - mais par l’écoute d’un esprit libre de choix - .
Laissant "la sensation" (qui ne vienne pas de soi) donner subtilement, allégoriquement et concrètement les révélations (permettant de rappeler “à ses fragments” et de se rappeler) lors des relations. Pour cela il faut savoir être totalement "consciemment impersonnel" (sans que ses actions viennent de sa volonté à sois). Il serait facile de nous sacrifier comme d'autres ont déjà pu le faire auparavant, mais en notre temps ce serait devenu une facilité, et un acte non écouté aussi beau que serait ce sacrifice. Le courant naturelle de ce qui Est nous amène maintenant à un autre type de sacrifice pour ses semblables au nom de ce qui est (-sacrifier ses conflits-).

La vérité -mise à nue tout en gardant ses vêtements et sans signe d’appartenance nécessaire à ses vêtements où ce qu’il y a en dessous-, il y a ni changement, évolution ou progression d’une conscience (bien qu’il en ait finalement fallu pour en arriver là). Mais l’alignement d’une même vérité, tellement vraie qu’elle devient au final inévitable et s’instaure malgré soi et à laquelle on remet sa conscience en sa volonté, puisque la justesse ne s’évite plus.
Et sur le chemin de l’être qui Est se révèle à ce qui Est dans la justesse et la bonté sans intention personnelle, mais par l'harmonie incommensurable du flottement qui caresse nos visages sans images et sans masque. Tel un fils d'or de ce qu'il y a de plus pure nous relie les uns aux autres.
N' étant ni impressionné et n'impressionnant point mais transcendant sans cesse sans en avoir le choix.
Ecouter ce qui est avant.
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Andrei2010
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MessageSujet: Re: UMMO   UMMO EmptyMar 14 Juil - 9:32

Euh... C'était quoi, la question ?
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MessageSujet: Re: UMMO   UMMO EmptyMer 15 Juil - 17:42

anruaderobdny a écrit:
Allo Ummo

Allo, ici c'est la Terre..
Une bière ?
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MessageSujet: Re: UMMO   UMMO EmptyMer 15 Juil - 17:50

Plutôt une tisane ?
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MessageSujet: Re: UMMO   UMMO Empty

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